Roselend

Nombre de messages : 69 Date d'inscription : 04/01/2009

La jeune jument arriva en tirant au renard, le palefrenier avait été obligé de
lâcher, elle trottina en trébuchant sur sa longe jusque dans l’herbe, elle
brouta quelques brins d’herbe puis repartit au galop quand elle vit le
palefrenier qui revenait, elle finit par rentrer d’elle-même dans un boxe par
pur curiosité, il était sale, et elle pouvait reniflé pleins d’odeur, mais quand la
porte fut fermé, elle s’énerva, s’était trop sale pou elle à en croire comment
elle se collait à la porte. La jument hennit avec fierté puis tapa de l’antérieur
contre la porte avant de se prendre une claque, d’ailleurs, elle recula en
levant la tête comme pour se cabrer, ce qu’elle fit au final. Du coup, chaque
personne qui passait, elle essayait de mordre, non par méchanceté mais
pour s’occuper

Kristin marchait dans l'écurie, pour voir si il y avait des nouvelles arrivées.
Son attention fut attirée par un tapage au fond.
Elle s'approcha et vit la tête de la jument sortir du box pour mordre. Elle claqua de la langue légèrement pour distraire son attention.
Elle était magnifique ! Une futur crack !
Elle commença à lui parler doucement, elle n'avait pas l'air commode... Mais elle aimait ça !

- Salut toi ! Tu as l'air de bien t'ennuyer ! Tu ne veux pas sortir u peu ?

Après avoir jeté un oeil dans le box, la jeune femme s'écria :

- Tu vis là dedans ! Ma pauvre, je te comprends ! tu ne voudrais pas qque je te change de box ? Dans un propre et plus grand ?

Elle s'approcha un peu plus et attendit une réaction

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La jument, autant vous dire que malgré sa magnifique apparence, était une peste quand il s’agissait de choisir son cavalier, parce qu’on ne choisissait pas madame, ou alors, libre à lui de se jeter dans la gueule du loup. La jument regarda la jeune femme puis la renâcla, quand elle cria, la jument, sans crainte baissa ses oreilles, mais ne montra aucun signe de peur. Elle rentra sa belle tête et inspecta le boxe, quand le palefrenier qui l’avait enfermé arriva, elle sortit sa tête, reconnaissant son odeur et plaqua ses oreilles en trottinant sur place et en essayant de le mordre, avant de se prendre une autre baffe, elle réussit à lui mordre le bras. Trop fière. Il ne fallait pas l’énerver, elle prenait vite les gens en grippe.

Voir une jument ainsi la fit sourire.
Elle avait l'air caractérielle la belle !
Elle s'approcha légèrement, mais hors de portée des dents.

* Le caractère aussi charmant que le mien *

- Et si tu me laissais t'attraper ? Je pourrais te sortir et faire un box digne de ce nom ! Qu'en penses-tu ?
Ca te plairais ?

Elle détailla la jument rapidement.
Une musculature parfaite, bien que nécéssitant un apport, une bonne morphologie, une parfaite jument de course en bref !

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La jument se tourna lui montrant son cul à ce cher palefrenier qui lui
en avait mis une. Elle chercha quelques brins de foin, puis hennit quand elle
se rendit compte, que c'était braiment pourris ici (xD). La jolie alezane entendit
quelqu'un lui parlait, ah oui, l'humaine qui était devant son box? Un "Quoi encore"
lui venait à l'esprit, elle mis sa tête dehors et regarda, oreilles en avant, les autres chevaux.
Dès l'approche de la jeune femme, ses oreilles pivotèrent en
arrière, elle ne mordait pas, mais était vite de mauvaise humeur

La réaction de la jument la fit rire.
Oui, Kristin était pliée en deux de rire.
Elle n'en pouvait plus, elle en pleurait même.
Elle avait parfois des réactions étranges...
Elle n'avait absolument pas peur de la jument qui ne fesait que prévenir.
Elle n'allait rien faire, Kristin en était sûre puisqu'elle pensait que l'alezane était au fond, adorable.
Convaincue de sa justesse d'opinion, elle pensait de rien craindre et en était même certaine.
Néanmoins, elle jetta une carotte qui traînait dans sa poche dans la mangeoire de la jument et tourna des talons, riant encore un peu.
Elle s'éloigna et revint une bonne demi heure plus tard, son fou rire appaisé.

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La jument prit la carotte, l'humaine venait de se faire détester en un geste
jeter de la nourriture, une friandise qui plus est, quoique elle pouvait
y remédier en lui en donnant une autre, mais quand la jument revint pour
quémander, elle n'était plus là, pas grave; la jument resta la tête dehors, baissant
les oreilles. Tiens, elle revenait, c'était quoi ces trucs bizarres, se plier et tout
Ils étaient tous si bizarre ces humains ? Bref la jument tapa à la porte
avec son antérieur

Elle sourit en voyant la jument taper contre son box.
Décidément, tous des gourmants x)
Elle s'approcha, et sortit d'une poche une belle carotte toute fraîche.
C'est utilise de passer chez le marchand de fruits et légumes le matin =P

- Ca te dirait une autre ? J'en ai encore d'autres dans mon sac tu vois ?

Elle se rapprochait de plus en plus de la porte,
Et elle finit par être bientôt juste à côté de la jument, les deux paumes à plat,
l'une avec la carotte et l'autre sens.

- Si tu la veux, prends la.

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La jument, sans peur ni crainte, prit la carotte, elle était chieuse, mais
sur d'elle, elle pouvait courir quand elle voyait un homme, pas par
peur mais par fainéantise. La jument la regarda et tourna la tête à 45°
sur le côté en humant l'air. Ses oreilles droites grâce à la carotte.
Elle voulait sortir, malgré le froid, ele était tondu mais couverte, donc
parfait !

Elle s'éloigna un instant et revint avec un licol.
Elle le montra à la jument, puis délicatement, le lui passa.
Elle lui caressa longuement l'encolure, attendrie.
Elle l'aimait déjà beaucoup.
Elle lui chuchota à l'oreille

- Je suis sûre qu'à deux, on peut tous les battre...

Elle ouvrit la porte du box et fit sortir la jument tout en faisant attention à ne pas se faire marcher sur les pieds.
Elle la conduisit jusqu'à un paddock où elle décrocha la longe pour laisser la jument galoper.

- Vas-y montre moi ce dont tu es capable !
Défoule toi !

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La jument sentit le sol, elle hennit et trottina jusqu'au paddock.
Une fois dedans et lâchée, elle partit en un coup de cul puissant, le moins qu'on
puisse dire c'est qu'ele avait le cul léger. Elle galopa à toute
vitesse, jetant des sauts de mouton, des cabrés à tout bout de champs
Ses crins volaient au vent, elle avait l'air puissante, et magique,
fière et indomptable, c'était magnifique à voir, et pour elle, magnifique à faire.
Pendant plus de dix minutes, elle galopait puissamment, ses sabots martelant
le sol, elle s'arrêta net, huma le vent, puis posa ses antérieurs au sol
pour se coucher et se rouler. Elle se releva puissante et fière, arrêt parfait
au carré, et les crins au vent, regardant au loin

Elle observait la jument continuellement. Chaque mouvement confortait son hypothèse.
Cette jument valait de l'or, encore fallait il beaucoup de patience et de douceur avec.
Les anciens propriétaires n'avaient sûrement pas pu s'en occuper convenablement...
L'alezane était sublime. Rien n'était aussi beau que ce spectacle pour Kristin, qui était subjuguée.
Tandis que la jument regardait une chose inconnue pour Kristin, celle ci fit un léger appel de langue.

- Roselend...

Elle avait murmuré le nom de la belle, attentive à ses réactions multiples qui pouvaient être vives mais gracieuses.

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La jument regarda furtivement, avant de commencer à brouter quand elle
entendit son nom, elle leva le regard, en voyant que c'était la jeune femme,
elle baissa les oreilles, sans les plaquer à la nuque pour autant, elle
voulait un peu de tranquillité, enfin ne pas rentrer surtout. Mais la jument
n'était pas contre quelques papouilles, mais si elle la voyait arriver avec un
licol ou les mains cachaient, elle fuirait ou chargerait, quoique on n'était
jamais sur de rien avec l'alezane

La jeune femme sourit et rentra dans l'enclos.
Elle s'approcha doucement de la jument, une main le long du corps, la paume vers l'extérieur, et l'autre tendue vers la jument.

- Alors ma belle, on est bien dehors hein ?
Mais il fait trop froid pour rester la nuit dehors malheureusement.

Elle s'assit par terre, non loin de la jument, les deux mains occuper à tourner une feuille dans tous les sens.
Elle ne regardait pas la jument, plongée dans ses pensées.
Elle sortit finalement une gaterie de sa poche, pour l'alezane.

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La jument fit un bon sur le côté en la voyant arriver, ele fit le tour du pré, rasant la
carrière, elle hennit et vit le bonbon, elle s'approcha en tendant l'encolure, prête à galoper
à la moindre vue d'un licol ! C'était décidée, elle n'avait pas finis son manège, c'était
Madame Roselend qui décidait de quand elle rentrait ! Elle prit le bonbon puis partit
en coup de cul. Elle galopa et lança des cabrioles, saut de moutons et tout le blabla
de toutes ses forces, puis alla vers la porte pour rentrer, Ayyééé elle avait fini^^

Elle lui caressa doucement le bout du nez quand elle prit le bonbon.
Elle resta immobile, à la regarder s'agiter.
Quand elle se dirigea vers la porte, la jeune femme sortit de l'enclos et revint avec un licol.
Elle s'approcha un peu de la jolie alezane et l'appella.

- Roselend.. Viens ma belle, on rentre.

Elle resta à sa place, ce serait l'alezane qui viendrait.

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Ah non surement pas ! elle était déjà à la porte, c'était suffisant, l'alezane
ne montrerait pas encore d'affection, normal, elle ne la connaissait que peu
même si les bonbons restaient ancrés dans son esprit^^. La jument hennit
en tapant de l'antérieur pour appeller les autres chevaux, un étalon sortit
la tête, un raison pour elle de faire la belle, tourner presque sur place en panachant
sa queue, un spectacle de toute beauté, mais sayé, ça ne l'amusait plus,
le foin lui manquait, même si le boxe sal lui, la dégoutait, ce n'était pas
son crottin . . .

La jeune femme haussa un sourcil.

- Comme tu voudras...

Et elle sortit de l'enclos, en laissant le licol devant la porte.
Elle rentra dans l'écurie en chantonnant doucement.
Elle héla doucement un palefrenier à qui elle parla quelques instants.
Elle l'observa faire ce qu'elle avait demandé, légèrement distraite.
Elle joua avec un bout de paille qui trainait, pensive.
Elle pianota rapidement sur son portable en envoyant un message.
Elle se dirigea vers l'intérieur du bâtiment, dans l'obscurité.

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La jeune jument se fit rammenner par une palefrenière. Tout gentille ou presque
vu que c'était elle qui la nourissait^^, elle alla la ête dans son mangeoire puis
repartit taper à la porte, son boxe puait et elle s'enfoncait jusqu'au milieu du
canon dans le crotin et la paille mouillé d'urine de cheval. La jument hennit,
son regard retomba, elle était toute triste

Elle revint vers la jument et la flatta.
Serait- ce un bonne idée ?
Après tout, la jument ne paraissait pas vraiment faite pour elle.
Elle soupira.
Elle avait énormément envie de monter à cheval, mais elle voulait LE
cheval...

- Si tu veux je m'occupe de toi...

Elle avait la voix défaite, et elle était aussi triste que l'alezane.

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La jument comprit vite qu'elle était triste, peut etre était-ce de sa faute
mais elle n'éprouvait pas de remord, juste de la compassion
Elle gratta sa tete contre l'épaule de la jeune femme et attendit qu'elle
ouvre la porte et fasse son boxe, ou encore la monte, peu importe
elle voulait juste etre occupée

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Roselend pétait littéralement son câble, elle hennissait le plus possible et imaginable, se cabrait et tapait. C'était, certes impressionnant, mais surtout lugubre, elle était en panique, ses yeux sortaient de leurs orbites, et elle chargeait une porte qui devait céder qu'avec un camion à "sa trousse". Bref, elle hennissait, au secours, une jument complètement seule. PLus de trois ou quatre jours, seule, plus de foins. Un besoin immense de se divertir les pattes sans être dans son crottin

Marie déambulait tranquillement dans les écuries des chevaux à vendre.
Elle avait laissé son jeune fils à Mathieu qui voulait le garder chez lui pour la journée.
À cause de sa grossesse et de tous les évènements qui étaient arrivés, surotut la mort de Diego, cela faisait presque 3 ans qu'elle n'avait pas de cheval à elle.
Bien sur, elle aidait souvent Mick, son bon ami, à gérer l'élevage des arabes, parce qu'elle adorait s'occuper des chevaux.
Mais elle ne s'était pas senti prête à avoir de nouveau un cheval à elle.
Mais là, Mick avait pris une semaine de congé, alors Marie ne voulait pas importuner le personnel, même s'il la connaissait tous.
Elle décida donc de se prendre en main, il était temps pour elle d'avoir de nouveau un cheval, si possible une jument, pour ne pas lui rappeler Diego.
Elle passait donc dans l'allée, elle entendit soudainement un vacarme impossible à quelques mètres de là.
Des hennissements apeurés, assourdissants.
Elle s'approcha donc rapidement du box, et écarquilla les yeux devant ce désastre.
La petite arabe alezanne faisait peine à voir, toute sale, sans rien à manger.
Avec l'absence de Mick, le personnel était vraiment ignoble si on ne les gérait pas..
Elle chuchota quelques mots apaisants à la jument, puis déguerpit dans la pièce ou on mettait le foin.
Elle revint une minute plus tard, les bras chargés de 2 galettes de foin, ce qu'elle pouvait apporter.
Elle ouvrit la porte du box, tranquillement, quand même sur ses gardes, et déposa le foin près de la porte.
Elle referma ensuite la porte, puis s'accouda sur celle-ci.
Elle regarda le nom de la jument sur la porte.
- Ah, ma pauvre Roselend.. Mange un peu, tu en as besoin.. Mais quelle bande d'idiot pour te laisser toute seule ainsi, sans s'occuper de toi..
Sa voix tremblait légèrement, elle avait parler tout bas.
Elle aimait déja beaucoup la jument alezanne, elle était magnifique.
Le genre de cheval qu,elle voulait, en fait.

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Roselend se calma un peu, ses veines ressortaient de son encolure assez finement musclée. Elle sentit la jeune femme
qui semblait calme et douce, mais qui repartit à peine arrivée. Ah non ! Pas ça ! Roselend tapa la porte, quand elle sentit
quelque chose couler sur ses cuisses, elle lança un violent coup de cul contre le mur de son boxe
puis regarda la jeune femme revenant avec du foin, perdue, elle était encore plus débile qu'en temps normal
lorsqu'arriviat ses chaleurs. Elle
chargea alors la porte déjà fermée et prit quelques brins de foin en continuant à tourner dans son boxe
et jetter son postérieur en l'air, car elle avait vite compris que c'était douloureux d'envoyer les deux contre
le mur. Pas si bête pour une jeunette (xD)

Marie resta longuement immobile à observer la jument alezanne.
Puis elle ouvrit la porte du box, tant pis pour le danger.
Pourtant, elle était plus prudente depuis qu'elle avait accouché de Liam, mais là, tant pis pour la prudence.
Elle sentait simplement le besoin d'entrer dans le box, peu importe ce qui en coutait.
Elle laissa quelques centimètres d'overture pour qu'elle puisse l'ouvrir plus rapidement en cas de danger, mais pas assez d'espace pour que Rosy s'échappe.
Marie alla donc s'agenouiller dans le coin près de la porte, calme et posé.
Elle tendit un sucre vers la jument, la main à plat.
Puis elle murmura, tranquillement, d'une voix réconfortante et apaisante.
- Alors ma belle.. Tu en veux ? Viens, approche, je ne te ferai aucun mal..