Sa nouvelle jument..

Marie tenait la jument alezanne en longe, la faisant marcher à ses côtés.
Elle la fit entrer dans le grand pré verdoyant et la détacha, lui laissant tout de même le licol pour plus facilement la reprendre plus tard.
Michael vint lui apporter 2 galettes de foin, alors la jument aurait de quoi manger.
Marie le remercia de nouveau, puis elle regarda sa nouvelle jument.
Elle était splendide, même si elle avait besoin d'un bon pansage.
Mais bon, elle la laisserait se défouler pour la journée, après elle y verrait.

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Roselend était des plus heureuse, elle piaffait, queue en l’air et encolure arquée, pour arriver au grand pré, où l’herbe brillait, et l’espace semblait immense à ses yeux de pouliche. La jument, à peine rentrait, fit un espèce de pirouette maladroite, mais pour ne pas blesser sa nouvelle propriétaire apparemment, puis partit au grand galop, en lançant plusieurs coup de cul, saut de mouton, elle alla sur une grand bosse, son poids sur l’avant main, et regarda au loin, rêvant, crinière au vent. Magnifique, mais pas pour longtemps, car elle descendit à fond, manquant de tomber, ses foulées trop rapide pour les compter. Elle cabra proche de la clôture pour pouvoir s’arrêter avant, et partit dans un trop aérien, le long de la clôture, sentant l’odeur des autres chevaux

Marie souriait rêveusement en observant la jument alezanne.
Elle aimait la liberté, comme Diego..
Elle le chassa de son esprit, c'était un mauvais moment pour penser à son ancien cheval.
La jument avait besoin de se défouler, il fallait être idiot pour ne pas le voir.
Elle la laisserait là toute l'apres-midi certaineemnt, elle la monterait le lendemain.
N'empêche, elle pouvait peut-être jouer avec elle dans l'apres-midi.
Mais pour l'instant, elle se contentait de la regarder s'amuser et faire son manège, elle était drôle à voir.
Marie s'assit sur un banc non loin, tout en l'admirant, mais aussi eprdue dans ses souvenirs..

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Roselend continua puis commença ensuite à brouter, tout en
recommençant son manège, coup de cul et compagnie à certains moment
elle brillait, s’épanouissant en galopant et henissant de joie, elle alla boire, cet abreuvoir
était propre contrairement à celui de son boxe. Puis elle repartit au trot et s’arrêta
devant Maria

Marie souria en la voyant face à elle.
Elle se releva et tendit la main pour careser ses anseaux veloutés, tout doucement.
Elle souria pour la énième fois et ouvrit la barrière, entrant dans le pré.
Elle fit plusieurs mètres et alla s'assoir par terre, sur une partie d'herve réchauffé par le soleil.
Elle ferma les yeux, savouant cette liberté, d'être proche de la nature ainsi.
Puis elle les rouvrit pour regarder Rosy.

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Roselend la regarda elle brouta puis finit par aller vers elle au pas, tête baisser, pour broute près d’elle, car elle en avait besoin, de ce contact et aimait bien les hommes, enfin il ne fallait juste pas la contrarier. Elle brouta à moins d’un mètre d’elle, se tapant, encore une fois, le délire de coup de cul et grand galop, ruant, elle s’arrêta gratta le sol puis se roula, gardant une distance, pas totalement en confiance

Marie restait immobile, la regardant seulement, elle était belle à voir, pleine de grâce et de finesse.
Mais en même temps, elle respirait la puissance, elle avait de la classe.
Elles feraient surement un beau duo, du moins l'espèrait-elle.
Elle souria devant les folleries que la jument faisaient, elle avait du être enfermée bien longtemps.
Elle aimait avoir du plaisir, cela se voyait, elles s'entendraient surement bien.
Finalement, Marie se leva, sortant un autre sucre de sa poche.
Elle le présenta à la jument, attendant qu'elle approche pour l'attraper.

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La jument revint, en sentant la sucrerie, dans un grand trot, tel une trotteuse, mais rien de telle, juste
très gourmande. Elle s’attendait à ce que la jeune femme demande quelque chose, comme une révérence ou autre chose, un délire
d’humain qui lui valait des friandise, mais apparemment, Marie n’attendait rien en retour, elle le prit et
le mangea en se grattant à l’épaule de la jeune femme doucement. Elle se redressa en
entendant un hennissement, elle y répondit, son corps se raidit, elle ne respira pendant sa durée, puis doucement reprit son trot, tête au sol pour humer le sol

Marie l'observa, la jument semblait déjà plus en confiance.
Elle en profita pour lui caresser tranquillement le chanfrein, sans getses brusques.
La jument répondit au hennissement, wahou, c'était fort pour les oreilles !
Finalement, la blonde se rassit au sol près de sa jument qu'elle aimait déjà beaucoup.
Elle avait hâte de la panser, de la longer, de la monter, bref, d'être en contact avec elle.

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La jument se releva avec puissance en partant au galop. Elle
avait besoin de ça pour être un peu plus calme, ne serait-ce que sous la selle, mais
Marie ne savait pas dans quoi elle s’était engagée, même au pansage,
Rosy était des plus pénible et agitée. Elle hennit et brouta un peu, pendant plus de dix minutes, sayé, madame s’ennuyait et voulait rentrer parce que l’orage arrivait, et elle détestait se mouillait. Elle alla à la porte et hennit pour se faire comprendre

Marie s'appercut rapidement qu'en effet l'orage approchait.
Elle ne désitait pas se faire tremper non plus, et la jument avait l'air de son avis.
Donc, elle l'attrapa par le licol et la fit sortir du pré.
Elle referma la barrière et se dirigea vers l'écurie, chantonnant tout doucement.
Un bon pansage serait apprécié, parce qu'elle était vraiment toute sale.

( Je fais son box )

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