Entrainement de Rosy

Marie arriva en tenant sa jument alezanne en rênes.
Elle s'arrêta dans le milieu du manège, puis descendit les étriers.
Elle caressa la jument alezanne avec douceur, souriante.
- Bon ma Rosy, aujourd'hui, on s'entraine un peu !
Elle ne savait as si elle devait l'inscrire ou non à la course, elle déciderait ça dans la prochaine semaine.
La blonde gratoilla le chanfrein de la jument, puis se dirigea vers son flanc gauche.
Elle posa un pied dans l'étrier puis monta souplement sur son dos.
Elle atterit sur la selle avec légèreté.
Elle caressa longuement son encolure rousse avant de commencer.

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La jument était déjà excitée, à 3 ans à peine, et jamais courru avec sa nouvelle propriétaire,
elle comptait bien lui montrer, peu importait ce qu'elle se prendrai dans la bouche, même si
elle en était très sensible, elle avait besoin de ça. Sa propriétaire monté, elle commença déjà
dans un bon pas, son encolure se balançant, encore rêne longue, mais dès que Marie
prit les rênes, elle renforça sa bouche, et trottina, stressée ? Enfin, plus excitée !
Il fallait la laisser aller, loin, jusqu'à s'en couper le soufle, pas dans un manège enfermé,
en extérieur sur une piste, ou elle serait montré ce qu'elle vaut réellement ! Elle hennit pour sa pouliche
qui répondit, maintenant rassurée, elle pourrait galoper

Marie souria en la voyant toute excitée.
Elle mit plus de poids dans l'arrière-main pour ne pas qu'elle accélère trop rapidement.
Elle la laissa trottiner comme ça sur une otur de piste, puis lui demanda un trot plus allongé et plus vif.
Marie voulait l'échauffer au trot avant de lui demander la galop.
Ce n'était pas un véritable entrainement de course, elle voulait surtout s'assurer de la bonne forme de la jument qui avait mis bas plusieurs mois auparavant.
La jeune femme prit un terot enlevé, s'assoyant dans les temps sur sa selle puis se relevant selon les foulées.

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La jument allongea ses foulées, en tendant ses antérieurs, la cavalière
pouvait sentir la propulsion, et la fore dans ses postérieur, ses hanches
légèrement rentrées, elle se mit sur la main, s'appliquant sur quelques
figures. Elle fit quelques écarts ! Peur de tout et de rien à la fois, mais pas du
tout angoissée, puisqu'elle repartait bien vite, levant bien haut ses petites
papattes, une vrai Arabe, élégance et légèreté, un vrai plaisir à monter et à
observer

Greg arriva et s'assit sur la parrois, il était habillé d'un jean et d'un tee-shirt
blanc, il siffla, la jument regarda d'ù ça venait, en levant l'encolure, et se
déconnectant de sa cavaliere

-Joliiiie jument. Dis moi tu as caché où Liam ?

Il lui sourit, son beau sourire, toujours aussi craquant

Marie prenait plaisir à monter la jolie arabe.
Elle était vraiment magnifique et confortable, dans un style arabesque gracieux et splendide.
Elle sentait effectivement la force de la juemnt dans ses foulées élégantes.
Marie souriait sans s'en rendre compte, elle caressa l'encolure de la jument alezanne.
Puis un sifflement se fit entendre, Marie ferma ses doigts sur les rênes pour la retenir et lui demanda le pas.
Elle se dirigea vers Greg en souriant, puis répondit à sa question.
- Salut ! Oh, il s'amuse avec Mathieu et Alye ! Il voulait aller voir son oncle, alors j'en ai profité pour monter ma Rosy !
Elle lui souria de nouveau, tout en l'observant.
- Et toi, ça va bien avec ta jument ?
Elle caressa doucement l'encolure de la jument, toujours en regardant Greg.

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Greg alluma sa clope en poussant la fumée loin de Roselend. Il la trouvait magnifique, elle avait l'élégance, et Marie, les compétences. Il fut surpris de voir que Marie savait pour sa jument

-On est même pas dans le même élevage, que tu connais ma vie ^^ Je suis si important

Il lui sourit, puis laissa échapper un petit rire malicieux.

La jument se gratta l'antérieur, en essayant d'attraper les mouches sur son poitrail en reculant. Magnifique ! Certes, mais elle en bavait pour les avoir, et c'était bien mieux en galopant, elle lâcha donc un violent coup de cul suivit d'un espèce de cabré, sa cavalière était tombée ? Normal, elle galopa à toute vitesse, un taon l'avait piqué, et la jeune jument gardait son esprit fou, même mère.

Greg sauta à terre, surprit...

[Je te laisse choisir, chute ou pas^^]

Marie regarda Greg, puis soupira, exaspérée.
En roualnt des yeux, elle lui répondit, tout de même un petit sourire en coin.
- Bah non, mais mon meilleur ami est aux anglais, alors.. Il me raconte souvent des trucs qui se passent par là-bas !
Elle n'était plus trop concentré sur la jument.
Quand celle-ci rua, Marie tint bon, mais déséquilibré, elle chuta quand la jument fit un cabré.
Elle atterit brusquement sur le sol, étourdie.
Surprise de la chute, elle releva les yeux sur Greg qui avait sauté à terre.
Elle resta étendue sur le sol, sonnée, mais en un morceau et pas blessée.
- Oh, je ne m'y attendais pas ! Ça m'apprendra, à être déconcentrée..
Elle fut pris d'un envie de rire, alors elle éclata de rire pendant une quinzaine de secondes.
Puis elle se calma, toujours couchée sur le ventre dans le sable.
Ce n'était pas si inconfortable, d'ailleurs !
En levant les yeux, son regard se porta sur sa Rosy qui galopait plus loin.

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Roselend galopa fougueusement en lançant de puissant coup de cul. La tête dans les antérieurs, et elle la bougeait dans tous les sens, à en faire voler ses rênes, marchant dessus, et se blessant la bouche, sans saigner pour autant, elle galopa et s'énerva encore plus. Avant de s'arrêter, épuisée, naseaux dilatés, et les yeux grands ouverts. Reculant à chaque pas des gens, à chaque battement d'ailes des insectes... Rhalalala, l'été, grande galère pour Mademoiselle Rosy, allergique aux mouches et autres insectes

Greg la regarda et rigola en la voyant rire pendant quelques secondes, il la leva et regarda la jument

-Elle ne supporte pas les piqures on dirait . . . Et toi, ça va ? Rien de casser.

Lui dit-il en souriant, il s'était un peu inquiété sur le coup. Il lui enleva le sable sur son visage, et la regarda droit dans les yeux, avec une envie de faire le loveur et de l'embrasser, comme avant . . .

Marie fut debout en pas grand temps, puis le contact de la main de Greg sur son visage la renvoya elle aussi dans ses souevnirs.
Les yeux posés dans les siens, c'était difficile de faire autrement..
Elle tenta de chasser rapidement cette pensée en répondant à sa question, sur un ton hésitant malgré elle.
- Non, je vais bien..
Elle jeta un regard sur sa petite jument, puis souria doucement.
- Ohlà ma belle, faut pas t'énerver comme ça, tu pourrais te blesser..
La jument avait l'air vraiment énervée, la pauvre, c'était sa faute, si seulement elle n'avait pas chuté..
Et voilà, elle commencait à culpabiliser, encore.
Elle se resaisit pour avancer tranquillement vers Rosy.
- Viens là ma toute belle..

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Sa faute ? Oh non pas du tout ! Si Marie était encore sur son dos, elle aurait valsé, et fait une chute plus grave, ou elle aurait énervé la jument à tirer pour qu'elle s'arrête? Roselend la regarda avancer, tête haute, continuant encore et encore à la lever, en reculant, prête à se cabrer, dès le moindre faux pas. Elle fut bloquée contre le parre-botte. Elle hennit grandement, au fond, elle n'avait connu sa cavalière que le temps d'un séance, on ne pouvait pas lui en vouloir de ne pas encore lui faire totalement confiance. Sa queue valsait, pour chasser ses sales mouches, en donnant des coups avec chaque membre, sa peau tressaillait pour les chasser, pendant que ses naseaux dilatés, l'aidait à reprendre son souffle

Greg pendant ce temps, sortit du manège, pour aller chercher un insectiside, le ramenant, il rentra doucement et s'accroupit à cinq mètre de la jument

-J'ai rammené l'insectiside et une longe vu qu'elle a pété ses rênes, je te laisse tout ça là.

Il se leva doucement et partit, les laissant à deux metres, l'une de l'autre

Marie se retourna pour remercier Greg, puis celui-ci partit.
Elle souria et s'agenouilla doucement.
- Viens là ma jolie, tu vois, ça va mieux maintenant..
Elle allait attendre que la jument s'amène pour enlever les rênes.
Elle parlait toujours d'un ton rassurant et bas, ne voulant pas effrayé la jolie alezanne.
Elle prendrait le temps qu'il faudrait, Rosy était une arabe bien nerveuse, cela ferait pratiquer la patience de Marie.
Quoique, avec Liam, sa patience était souvent mise à rude épreuve..
Elle hésitait à sortir une carotte mais ne le fit pas, non, elle ne voulait pas la faire approcher de cette façon.
Ce serait en quelque sorte triché, et puis, cela ne ferait pas en sorte que Rosy apprenne à avoir confiance en elle.
Après tout, elles se connaissaient à peine pour ce qui était question que Marie la monte.

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Roselend resta en face d'elle; tête haute et fit un petit pas vers Marie, juste pour bouger, et peut être avoir un contact, mais elle n'était pas sure d'elle ni de ce que ferait sa cavalière, si c'était pou remonter pas la peine SAUF peut etre, avec ce produit bizarre qu'on lui mettait tout les ans, en été, parce que même si elle faisait la fière et s'énervait au début, elle savait que ça lui faisait du bien, parce que sensible comme elle l'était, il était impossible de la monter en été sans ce miracle : l'insecticide. Elle secoua sa tête et tapa de l'antérieur pour retirer les mouches plates. Pendanty une dizaine de minutes, elle ne bougea pas, et après, elle se décida, enfin, à aller vers Marie, s'ennuyant mais étant énervée tout de même, elle trotina en bougeant la tête, lançant un coup de cul.

Marie restait patiente, elle ne la regardait pas dans les yeux, promenant parfois so regard ailleurs dans le manège, ou sur la silhouette de la jument alezanne.
Puis, un sourire se motnra sur ses lèvres quand la jument se décida enfin de venir l'approcher.
Marie caressa doucement son encolure, puis attrapa les rênes brisées pour la trainer plus loin, l'endroit ou était la longe et l'insecticide.
Elle enleva les rênes intuiles, puis elle lâcha la jument pour prendre la longe et l'installa de façon à en faire des rênes.
Elle s'assura de la solidité de ce matériel improvisé, puis souria.
Habituellement, avec Sweety, elle le montait souvent avec seulement un licol et une longe mise à la place des rênes.
Cela lui procurait toujours un sentiment de liberté plus puissant..
Elle attrapa la bouteille d'insecticide puis caressa la jument avant de lui en mettre.

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L'alezan se calma. Elle baissa la tête en soufflant sur le sable, voulant se rouler, mais Marie la tira vers la milieu, elle suivit sans trop broncher, et ne bougea pas aux changement d'équipement. En revanche, quand elle lui proposa devant les naseaux ce produit, elle tapa le sol, le foula et commença à charger en s'arrêtant net devant Marie, le but n'était pas de liu faire du mal ! Elle baissa ses oreilles et tourna la tête en arr^tant un peu ses conneries sans pour autant céder. Plutôt dur comme jument, effectivement

Marie eut un petit air amusé quand elle broncha pour l'insecticide.
Hum, comme ça, mademoiselle n'aimait pas trop cela.
Mais tant pis, elle allait quand même lui en mettre, ainsi elle aurait la paix après !
Elle commença par lui en pouisher sur les membres, juste pour l'habituer à la sensation.
Entre chaque jet, elle caressait doucement la jument pour la calmer et en lui murmurant des paroles apaisantes.
Ensuite, elle en aspergea son épaules, puis jeta un regard sur la jument.
Quand elle s'énervait, Marie la lâchait et attendait qu'elle se calme avant de lui en remettre.

Attendre qu'elle se calme, pour ça, mademoiselle Rosy tourna en rond au tour de Marie, arquant l'encolure, panachant la queue, une vraie, pure et magnifique jument arabe. Elle souffla et finit par se calmer, se laissant en metter sans broncher ! Quelle caractère ! Sale bête ! Mais au moins, Marie était mise à l'épreuve tout le temps, et ne risquait pas de s'ennuyer, après tout, Rosy n'avait que 6 ans, déjà 3 ans à HR, dont presque un de grossesse^^

La blonde souriait, ouais, elle était superbe.
Marie finit par lui en mettre partout ou c'était possible, puis alla porter l'insectide et les rênes brisés près de la barrière, à l'extérieur du manège.
Ensuite, elle sortit une friandise de sa poche et la présenta main tendue à Rosy, une fois revenu vers elle.
- Bon, allez, le travail commence pour vrai, cette fois !
Elle espérait juste de ne pas chuter et de tout recommencer encore.

La jument se gratta l'antérieur et la regarda revenir. Avec une friandise, même
si elle n'était pas très gourmande, c'était toujours bon^^. Elle le dégusta,
malgré le mors, et se laissa chevaucher, elle serait plus cool, sans pour autant
rester inactive. Elle prit le pas sans autorisation, comme toujours et étira son encolure

Marie placa correctement ses jambes et ses mains, puis la laissa partir.
Elle la fit marcher sur la piste pendant un tour, puis lui demande une volte, une demi-volte, puis, à l'autre main, des cercles, des serpentins et des doublés dans la longueur.
Elle lui faisait faire des figures simples pour l'échauffer au pas, surtout après la chute, elle voulait reprendre le rythme de sa jument.
Elle lui demanda ensuite le trot, à la voix et aidé de ses jambes.

Un appel de langue suffisait, et la pression était en trop, elle lacha donc un petit coup de cul, pour évacuer l'énergie que Marie stoppait dans ses mains. Roselend avait encore beaucoup, voir tout, à apprendre. Elle se calla sur le mors par moment, mais c'était encore dure de l'avoir sur la main, elle n'avait pas vraiment appris à faire le dos rond, et arquer l'encolure lorsque quelqu'un était sur son dos...

Marie l'encourageait à la voix pour qu'elle garde le rythme, elle avait compris qu'un claquement de langue et la voix suffisait.
Elle la mania quelques minutes au trot, elle voulait la détendre un peu.
Une fois qu,elle sentit que la jument était à peu près stable, Marie demanda le galop, de la jument et en clauant la langue.
Elle avait, bien sur, placer ses jambes dans une bonne position pour un galop du bon pied, mais sans pression. excessive, juste un frolement.
Elle avait le dos droit, le regard vers l'avant, ou elle voulait aller.

Roselend prit le galop en un petit coup de cul de joie, elle accéléra, perdant presque l'équilibre dans les tournants. Ses foulées étaient légères, une impression qu'elle volait, mais sur ce grand galop, il était presque impossible d'être assis, ou alors, très en arrière, pour la ralentir. Son corps semblait se rapprocher du sol. Elle savait que ce plaisir d'être à fond, ne durerait pas, habitude des humains de vouloir un beau galop rassemblée...

Quand Marie vit la joie de sa jument, elle ne put s'empêcher de sourire.
Donc au contraire, elle la laissa exprimer sa joie, se mettant en suspension, bien élevée au dessus de sa selle.
Elle l'accompagnait de ses mains, suivant le corps de la jument dans les tournants.
Elle aimait beaucoup la vitesse et cela semblait faire aussi plaisir à la jument.
Alors elle en profitait pour la laisser se défouler.
Elle l'encouragea à la voix, tout en gardant une position adéquate pour ce genre d'exercice.