Réflexion..

Marie souria , il se débrouillait quand même bien au trot. Elle reprit un trot assis pendant quelques foulées en le caressant après l'exercice, puis elle le fit passer au pas. Elle le laissa marcher rênes longues, parce qu'elle avait un plan pour elle et Phil. Après environ 5 minutes, le temps qu'il récupère, elle le dirigea vers l'endroit ou Phil se tenait, puis souria innocemment à son copain.
- Tu veux qu'on aille voir Liam ?
Elle jugeait qu'il était peut-être temps que leur fils sache enfin qui était son père. Elle espérait que tout se passerait bien, mais avec Liam c'était dur à voir. Elle mit pied à terre sans lui laisse le temps de répondre et attrapa les rênes pour amener l'étalon dans l'écurie. Une fois qu'il fut dans son box, elle lui enleva la bride puis la selle et alla chercher un sac de pansage. Elle sortit l'étrille en faisant des mouvements circulaires sur le flanc de Diego, un sourire angélique flottant sur ses lèvres. Elle était fier de lui, il n'était peut-être pas autant bien que Diego selon elle, mais elle l'aimait beaucoup déja !

Le grand gris profita dans minutes de marche pour reprendre son souffle et relaxer son coeur qui battait bien vite avec la sueur qui aait pltot un impressin de froid sur lui.La tête bien basse il allongait ses foulées profitant du moment présent.Philippe pensa a la proposition de Marie bien qu'il aurqais voulut attendre plus que 2 jours mais il savait que lorsqu'il avait une idée en tête elle ne la lachait pas et si c'était marie qui lui annoncait la nouvelle et qu'i l n'était pas présent il passerais pour l'homme qui se fout totalement de son fils il fit donc un signe de tête positif a marie qui était déja prète a parir il suivit les deux jusqua l'écurie.

-c'est d'accord marie mais j'aimerais lui dire moi même-

Phil ébourrifla ses cheveux se qui les redressa naturellement il regarda faire sans plus dire un mot.de son coté Diego avait déja commencer a manger sa rationn de foin guettant bien gentilement les jolies jument qui pourais passer dans l'allée.

Marie hocha la tête sur les paroles de Phil' évidemment elle ne voulait pas lui dire elle-même. Elle prit le bouchon pour le passer sur les flancs et la croupe de l'étalon, puis s'empara de la brosse douche pour la glsiser doucement sur la robe grise de son cheval. Une fois qu,elle eut finit, elle sortit le cure-pied et lui cura ses sabots avant de lui faire un calin et de refermer la porte du box. Marie se tourna vers Philippe et lui servit un sourire radieux.
- Alors, on y va ? Il est surement avec Madly, à cette heure !
Elle alla porter le sac de pansage dans la sellerie et revint vers Phil. Elle passa ses bras autour de sa taille et l'embrassa doucement, puis lui pruit la main pour le tirer hors de l'écurie. Liam se trouvait surement au paddock, alors elle verrait s'il était là.

Philippe l'attendit lorsqu'elle parti mais on voyait déja en elle que c'était une urgence elel avait plus hate d'annoncer a Liam la nouvelle que Phil en faite. Il se laissa embrasser tendrement par la femme qu'il aime plus que tout puis la suivit jusqu'au paddock mais dans sa tête les chose tournais en rond il réfléchissait sans vraiment réfléchir il se demandai comment il pourais lui dire.

Ses mains commencais a être mouate il pouvait entendre la voix de son fils qui entrainait sa jument dans le paddock qui approchait un peu trop vite a songout il aurais voulut arrêter le temps pour pouvoir se préparer a quelque mètre de celui-ci il stopa apportant Marie devant lui en un petit mouvement du bras. iIl la sera fort dans ses ma puis lui donna un petit bizou seche sur les lèvres.

-Je crois n'avoir jamais eu aussi peur de toute ma vie Marie-

il la fixa dans les yeux la retenant encore ne la lachant pas il voulait faire durer le moment pour que le second évènement soye un peu plus tard même si se n'était que de quelques secondes.

Marie souria en voyant qu'il stressait comme ça. Ses paroles semblaient en effet être vraies. Elle le fixait elle aussi de ses yeux bleus saphirs puis alla chercher un autre baiser sur ses lèvres, avant de le pousser vers Liam. Elle ne fit que quelques pas, s'arrêtant pour lui serrer doucement la main.
- Tu veux que je te laisse seul ?
Elle comprenait que ça devait être difficile pour lui, et peut-être que sa présence le gênerait. Le choix lui revenait, alors il choisissait ce qu'il préférait !

Liam faisait galoper sa jument quand il appercut sa mère et Philippe. Il les souria, ne remarquant pas que Marie pressait sa main, de totue façon ils pouvaient n'être que des amis. Il préréra se concentrer sur le travail de sa jument, elle maitrisait bien les différents rythmes de galop qu'il lui demandait. Il la fit donc passer au pas, mais ne la laissait pas trop ralentir. Elle ne devait pas s'endormir, quand même !

Phil la regarda un peu puis regarda Liam qui montait il préférait attendre qu'il ets fini d'entrainer sa jumen avant de lui annoncer et il yrais el voir au mileiu du paddock pour parler seule avec lui .Il en fit par a marie avec un sourire forcer a la fin puis regarda a nouveau son fils monter sa jument il ne lacha pas la main de la jeune mère il se rappalais du jour ou qu'il était parti il avait toujours laisser son chapeau avant de partir de marie et avant de laisser pitoyableent son fils sans lui dire qui il était vraiment.

°comment vais-je lui annoncer sans qu'il me repousse et me dise de ficher le camp?°

Si son fils ne l'acceptait pas il repartirais il ne resterais pas sur horse-run il ne voulait pas vivre avec cette sensasion d'un père qui a détruit la vie entier de son fils en étant abscent Marie et lui pourais continuer a se voir a se fréquenter il n'irais que s'installé ailleur et donner la total propriété de Diego a Marie.

Marie les regarda partir avec un petit sourire. Il était grand temps que Liam apprenne enfin la nouvelle. Elle décida de s'éloigner pour leur laisser plus de temps. Elle ne savait pas comment Liam réagirait, alors valait mieux qu'elle ne soit pas là trop prêt. Elle retourna donc à l'écurie, s'emparant d'un balais pour nettoyer l'allée.

Liam haussa les épaules, malgré la forte curiosité qu'il ressentait face à cette étrange situation. Il emboita le pas è son père, se demandant ce qu'il lui voulait. Il gardait le silence, jusqu'è ce que Philippe émette des propos qui lui parurent bizarres. Cependant, il ne fit pas encore le lien, parce qu'il avait depuis longtemps arrêter d'espérer de revoir son père.
- Ouais, content pour vous.
Un petit sourire en coin se dessina sur ses lèvres, il était toujours aussi sarcastique. Il attendit la suite des paroles, car il se doutait bien que d'autre chose suivrait. Liam bouillait intérieureemnt, il se demandait vraiment ce qui l'attendait pour la suite des événements.

Philippe s’arrêta devant son fils qui le regardait fièrement dans les yeux comme si rien ne l’affectait mais dans ses dire il bouillait a l’intérieur d’une rage et d’un dégoût presque déséquilibrant. Le`jeune père regardait Liam son fils qui il y a quelque minutes encore il respectait et en un sens aimait.

-Non je c’est Liam rien ne peux expliquer mon départ si se n’est que le vivre de connaître la vrai liberté celle que j’ai vécu presque aussi belle que celle que j’ai trouver au creux des yeux de marie la première fois que je les rencontrer.-

Il frotta ses mains ensemble un signe de nervosité il ne voulait surtout pas repartir mais son fils choisirais si oui ou non il repartirait il ne voulait pas s’incrusté dans leur vie déjà installé sans lui mais il rêvait d’être un bon père comme le sien l’avait été le quittant trop tôt.

-Je n’est aucune excuse a vous faire car je ses que a tes yeux et a celle de ta mère l’erreure ne se répara jamais j’ai moi aussi passer la plupart de ma vie sans mon père mais pour d’autre raison...-

Il prit les épaule de liam entre ses deux grosse main et releva la tête

-J’aimais mieu partir tout de suite que partir des années plu tard vivant avec se manque qui me rongais. Car au cours de mon enfance j’ai eu tout se que je voulait et j’ai voulut vivre par mes propre moyen avec ma jument. En 4 ans j’ai écrit 1460 lettres a ta mère je n’est jamais arrête d’y pense n,y a toi ni a elle.